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Les Hélicoptères
Hélicoptère Indoor Début
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SKYLIFT Chinook tandem birotor
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| Cliquez sur l'image pour l'agrandir |
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Le premier modèle réduit d’hélicoptère s’éleva du sol en 1784, bien avant l’avion.
Des noms prestigieux jalonnent l’histoire de l’hélicoptère et de l’autogire: Renard, Cornu, ,Breguet, Karman, De La Cierva, Sikorski pour n’en citer que quelque uns.
Les prototypes furent là aussi nombreux avant d’arriver à l’hélicoptère moderne que nous connaissons tous.
L’hélicoptère est un appareil complexe longtemps considéré dans le monde de l’aéromodélisme comme l’aboutissement technique ultime, en partie du fait de sa complexité mécanique réelle et de son pilotage ardu, différent de celui des avions et planeurs.
Les progrès réalisés dans la conception des mécaniques, les techniques de constructions et le développement d’assistances électroniques au vol comme les gyroscopes et les programmes spécifiques des radiocommandes ont démocratisé cet appareil et il est maintenant accessible à la majorité des aéromodélistes.
Comme pour les avions, on trouve des hélicoptères qui volent en « outdoor » ou en « indoor ».
Les premiers sont motorisés par des moteurs thermiques (2T ou 4T), des moteurs électriques et aussi maintenant par de véritables réacteurs.
Les hélicoptères « indoor » sont bien entendu exclusivement propulsés par des moteurs électriques.
Toutes les tailles existent aussi allant du micro hélicoptère d’indoor de 30 cm de diamètre rotor (voir plus petit) au gros de 3m de diamètre rotor, propulsé par un réacteur.
Il existe en gros trois catégories d’hélicoptères : les modèles de loisirs ou de sport, les maquettes et les hélicoptères purement destinés à la voltige extrême type 3D.
On trouve dans la catégorie maquette de pures merveilles de reproduction d’appareils réels y compris maintenant le mode de propulsion par turbine.
Les hélicoptères de voltige 3D sont très souvent des hélicoptères de sports équipés d’options mécaniques qui en font de véritables « bêtes » de voltige capables de subir les plus violentes contraintes aux mains de pilotes fantastiques qui leur font exécuter des figures que le commun des aéromodélistes a du mal à appréhender, en marche avant, arrière, sur le dos et à des vitesses incroyables.
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Les avions...
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En aéromodélisme il existe une très grande diversité d’avions, de types de modèles réduits, de types de propulsion…
L’avènement des nouvelles techniques de construction, de motorisation et de contrôle : (modèles réduits radiocommandés), leur évolution rapide à conduit à une véritable explosion de l’offre.
La gamme s’étend maintenant du petit avion de modélisme radiocommandé de quelques grammes au « petit gros » de plusieurs dizaines de kilos.
On trouve donc des avions outdoor (volant à l’extérieur) et des avions indoor volant dans des salles, gymnases ou autres.
Ceux qui volent en « outdoor » peuvent être motorisés de multiples façons. Ils pourront être équipés de matériels complémentaires, moteurs à explosion (2T, 4T), de moteurs électriques, de véritables réacteurs, de turbines, de pulso réacteurs….
Ceux qui volent en « indoor » ne seront bien sûr équipés que de propulsions électriques….
Pour chaque type on trouvera des avions de début, de voltige ou de loisirs correspondant aux souhaits du pilote ou de l’élève pilote.
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Selon l’état d’avancement de la construction de l’avion acheté on trouvera des accessoires spécifiques, des kits à construire, des ensembles ARF (Almost Ready to Fly – presque prêts à voler) pour lesquels il faut assembler de grands sous-ensembles livrés finis (fuselage, ailes) et installer la radiocommande
des ensembles RTF (Ready to Fly – prêts à voler) pour lesquels l’appareil est livré entièrement terminé, radiocommande installée…. |
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Les Planeurs / Les Motoplaneurs
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Les planeurs sont la composante la plus écologique peut être, la plus poétique sûrement de l’aéromodélisme radiocommandé.
Comme leurs grands frères, les planeurs radiocommandés permettent de faire du vol à voile, c’est à dire de réaliser des vols en exploitant l’énergie atmosphérique, le plus souvent en utilisant les ascendances thermiques qui sont les courants chauds, ascendants, de l’atmosphère.
Le planeur radiocommandé peut se pratiquer en plaine ou en pente.
En plaine les planeurs sont mis en altitude par treuillage, par sandow ou par remorquage.
Dans le premier cas on treuille le planeur face au vent grâce un câble qui peut être mû manuellement ou rembobiné sur le tambour d’un treuil électrique.
Dans le deuxième cas on accroche le planeur à un sandow (un élastique de 50m environ et un câble de 100m) que l’on tend. Puis on lâche le planeur face au vent, assurant ainsi sa mise en altitude.
Dans le dernier cas c’est un avion radiocommandé qui tracte le planeur ; chaque appareil à son propre pilote bien entendu, et le planeur est muni d’un crochet de remorquage radiocommandé qui lui permet de se « larguer » quand l’altitude voulue est atteinte.
Il existe aussi des moto planeurs qui sont des planeurs disposant d’un moteur utilisé uniquement pour la mise en altitude. De plus en plus ce sont des moto planeurs électriques, qui bénéficient pleinement des progrès de ce type de propulsion en terme de poids, puissance et autonomie.
Une fois en altitude le planeur exploite les ascendances thermiques afin de rester en vol. Ce type de vol nécessite, à l’instar des grands frères de spiraler dans la zone montante et requiert du pilote un bon sens de l’observation des phénomènes aérologiques.
En pente le planeur est lâché dans la pente qui doit se trouver orientée face au vent.
Lorsque le vent vient « taper » la pente, une partie de son énergie crée une zone de portance qui permet au planeur de voler même sans ascendance thermique. C’est le type de vol de prédilection pour la voltige lorsque les conditions de portance sont bonnes et aussi pour l’apprentissage car les vols peuvent durer longtemps, tant que le vent est présent…
De nombreuses pentes existent donc l’accès et l’utilisation peuvent êtres réglementés, dans les massifs montagneux bien sur, mais aussi en bord de mer.
Pour chaque type on trouvera des planeurs de début, de voltige, spécifique à une compétition particulière, ou de loisirs, correspondant aux souhaits du pilote ou de l’élève pilote.
Selon l’état d’avancement de la construction du planeur acheté on trouvera :
des kits à construire de A à Z, à partir d’éléments en bois plus ou moins prédécoupés,
des ensembles ARF (Almost Ready to Fly – presque prêts à voler) pour lesquels il faut assembler de grands sous-ensembles livrés finis (fuselage, ailes) et installer la radiocommande
des ensembles RTF (Ready to Fly – prêts à voler) pour lesquels l’appareil est livré entièrement terminé, radiocommande installée….
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La radiocommande : les fonctions...
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Tous les modèles réduits RC ont besoin d’un ensemble radiocommande pour fonctionner.
Chaque radio inclut : l’émetteur, le récepteur, des servos, un support de piles ou une batterie et un interrupteur.
Certains kits de radio sont livrés avec un chargeur émetteur/batterie de réception. L’émetteur à manches ou à volant est l’élément qui est entre les mains du pilote, ce qui permet de donner les instructions pour contrôler le modèle réduit. Le récepteur quant à lui est installé dans le modèle réduit ; il reçoit et décode les informations de l’émetteur et active les servos ou le variateur proportionnellement aux instructions envoyées.
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